Notre raison d'être :
Qu'est-ce que L'Observatoire du Positif ?
Notre raison d'être :
Qu'est-ce que L'Observatoire du Positif ?
Notre raison d'être :
Qu'est-ce que L'Observatoire du Positif ?
Un outil de veille et d'analyse du positif
L’Observatoire du Positif est un outil de veille et d’analyse qui s’intéresse à tout ce qui a trait de près ou de loin au positif :
-
Les bienfaits du positif et de l’optimisme, notamment pour la santé mentale et physique et l’espérance de vie
-
Ce qui va bien, ce qui va mieux et ce qui s’améliore en France et dans le monde
-
Les tendances, les évolutions et les changements qui vont dans le bon sens, notamment dans la société française, dans le monde et dans le monde économique
-
Les découvertes scientifiques sources d’espoir, en particulier sur le plan médical
-
Les inventions et les innovations, technologiques et autres, qui représentent autant de solutions innovantes pour faire face aux grands défis qui se présentent à nous
-
Les engagements et les initiatives d’individus et d’organisations pour favoriser ce qui rassemble et favorise le dialogue et la concorde, et plus généralement pour contribuer à un monde meilleur
-
Des courants de pensée, des penseurs ou des personnalités inspirants en cette période particulièrement difficile
L’Observatoire du Positif, c’est en premier lieu un compte twitter (@feelgood2021) qui, depuis janvier 2021, fait une veille du positif au quotidien.
C’est aussi un site internet qui est davantage axé sur l’analyse.
Eddy Fougier, le créateur de L'Observatoire du Positif
Je suis un repenti du négatif.
Je travaille depuis plus d’une vingtaine d’années sur des mouvements qui développent la plupart du temps une vision catastrophiste du monde. Je tends également à mettre très souvent l’accent dans mes écrits et dans mes interventions sur les problèmes, les menaces et les risques. Je donne aussi des cours en formation initiale sur beaucoup de sujets particulièrement anxiogènes.
​
La crise sanitaire m’a amené à prendre conscience du fait que mon « empreinte » dans l’espace public ou dans le cadre professionnel, comme on parle d'empreinte carbone, était dans l’ensemble négative. Mes « émissions » d’informations et d’analyses négatives étaient bien plus élevées que mes émissions positives.
​
Or, avec la pandémie, je me suis dit, comme bien d'autres, que ce n’était plus possible de continuer ainsi. C’est dans ce contexte que j’ai engagé une forme de « transition positive » personnelle et que j’ai décidé de créer l’Observatoire du Positif.